Eklablog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Vous voici dans l'univers de l'aviation militaire de tous les temps : une information, des caractéristiques, des photos, avec mon blog vous serez ravi et n'oubliez pas, Bonne visites

Supermarine Sea Otter

Digne successeur du célèbre Walrus, le Supermarine Sea Otter était en grande partie ' un héros méconnu ',participant quotidiennement au Sauvetage en mer des pilotes, et tout autre travail.

Une version développée du Supermarine Walrus, développé au début de 1936  pour un amphibie de reconnaissance, de catapultes pour croiseur/cuirassé ou des ponts de porte-avions.

Deux prototypes (le Supermarine Type 309) commandé en avril 1936 pour se conformer à la Spécification 5/36, qui a appelé à Bristol Pegasus le moteur à être utilisée, dans la configuration de tracteur.

Avec un équipage de trois hommes, le Type 309 avait des mitrailleuses jumelées dans la cabine dorsale. Le premier prototype K8854 vola le 23 septembre 1938, avec le moteur 745 Bristol hp,et était remotorisé par le 920 Mercure de Bristol hp XX en 1940.

Un 965 Mercure hp 30 a été adapté en janvier 1941 et le dernier moteur indiqué pour l'avion en production en janvier 1942. Le deuxième prototype détruit par l'attaque ennemie à Woolston en septembre 1940, probablement avant être volé.

Supermarine Sea Otter ABR Mk I : version de production initiale, reconnaissance de bateau amphibie construit par Saro et janvier 1943.

D'abord un contrat de 250 unitées, achevé comme Mk II, sont entrés en Service au début de 1944.

Type

Hydravion de reconnaissance

Moteur

1 x Bristol Mercury XXX, 775 hrs.pwr.

Armement

3 mitrailleuses de 7.69mm

Vitesse maximale

262 km/h

Vitesse de croisière

 

Vitesse ascensionnelle

 

Plafond pratique

5 181 m

Autonomie

1 110 km

Poids

3 086 kg à vide, 4 536 kg en charge

Envergure

14 m

Longueur

12,2 m

Hauteur

 

Surface alaire

56,7 m2

Equipage

4

Retour à l'accueil
Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article